Fleurs Pikes


Samedi 17 novembre, on a fait des fleurs.

Mais du genre qui piquent. D’où le nom de fleurs pikes.

(enfin je crois)

Il est de ces séances avec Flo où, finalement, il ne se passe pas grand chose.

Enfin, soyons honnête: rien de notable à raconter dans DW. Pas de grandes phrases mémorables, pas de fines réparties, pas de sujets polémiques, rien.

Même pas un lutin à se mettre sous la dent.

Soit car nous sommes trop concentrés sur l’atelier lui même, à boire sans limite les propos formateurs de notre formatrice… J’en vois déjà deux ou trois qui pouffent. Si, ça arrive! Ok, pas forcément tout au long de l’atelier.

Soit un peu HS pour cause de boulot, tracas persos, et du coup un peu la tête ailleurs… Je plaide coupable de ce coté là.

Soit parce qu’avec un retard colossal dans mes chroniques relatant les évènements, ma mémoire me fait défaut (avec des prises de notes trop succintes…) Et de penser qu’avec l’age cela ne vas pas s’arranger…

Soit, surement, un peu de toutes ces raisons (et d’autres…)

Alors ?

Alors que reste-t-il à raconter?

Oh, on pourrait bien sûr partir dans un délire sur les fleurs qui piquent, telles les fleurs de cactus chantées par Soeur Sourire (si, si)

Fleur de cactus, ma petite soeur,
Tu es choisie par le Seigneur
Pour fleurir en sa maison
Tout au long des jours de ta vie

Pas sûr que ça mette de l’ambiance…

Allez, je peux tout de même citer les deux phrases notées (mais sans leur contexte que j’ai oublié).

Ainsi, cette répartie magnifique: je bois après avoir envoyé mes emails. Car il est préférable de ne pas le faire avant, au risque d’envoyer n’importe quoi?

Ou celle ci: raconter la vérité vraie est trop triste. Encore que. Ca dépend laquelle.

La vérité sur cet article est triste: je n’ai rien à dire. Mais je le dis quand même. Donc, en vérité, j’avais quelque chose à dire, ce qui me met en joie, et n’est donc pas triste. Par extension, la vérité est vraie, mais la tristesse est joyeuse.

Ah ben si, on peut aussi montrer ce que l’on a fait pendant l’atelier: 

Ca n’en a pas l’air (enfin si, quand même), mais il y a beaucoup de travail derrière cela, qui pourrait expliquer la concentration extrème des élèves pendant l’atelier.

Et du coup, la vérité sus-évoquée ne serait même pas vraie

Note: en me relisant, je me dis que j’ai besoin de vacances…
Mais comme je suis en vacances, j’ai peur…

3 commentaires

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