Remue méninges Lezart’Gil (2/2)


Le temps à passé, et nous sommes désormais autorisés à dévoiler un peu ce qui c’est passé au remue méninge du 2 mai 2010.

Pas tout, bien sûr, mais quand même.

Alors, je vais le faire. Si, si !

Bon, le plus simple, c’est de glisser quelques photos.

Pas beaucoup, car comme vous pouvez le voir, nous sommes concentrés. Et puis les textes sont déjà venus lors de la première partie du résumé…

Les participants

Ils ne sont pas tous sur cette photo, je n’ai glissé que notre tablée. Non pas par esprit de clan, mais tout simplement car je n’en ai pas… Celles ci sont prises par Florence.

Oh, à gauche, c’est moi. Facile à reconnaître, le seul gars… Sinon, Sylvaine, Véronique, Virginie, Nadia, et Florence qu’on ne voit pas puisqu’elle prend les photos. Pour être tout à fait honnête, on la distingue dans le reflet de la machine à pâte de Virginie mais la photo est trop petite. Plus loin avec le bandeau, Mikael, mais elle est loin, puisque de l’autre table…

Thème géométrique : première

La première cane a été l’empilage minutieux de boudins de couleurs assorties que nous avions au préalable façonné (avec le mélange de couleurs adhoc) et cerclé noir.

Deux dispositions, donc deux résultats différents, évoquant des vitraux.

Tiens, concernant florence, je crois que nous voyons ses mains sur les photos ci dessus. 

Thème géométrique : seconde

Pour la seconde cane, c’est ce qu’on appelle un défi. Où une folie. Du genre de celles dont on se dit on aurais pas du se lancer la dedans.

Mais nous l’avons fait !

Le motif de départ qui nous paraissait simple. Les couleurs retenues, allons y, faisons des plaques, et des plaques, et des plaques… Et d’autres plaques.

Et on fait des canes cibles et on refait des plaques car il en manque. Et encore quelques plaques. Après découpage, ne reste plus que l’assemblage. Faciiiile

(oups)

Facile : expression française qui signifie, dans ce contexte, que ce n’est simple qu’au bout d’un long moment de prise de tête à positionner, se dire que non c’est pas ça, repositionner, se dire que non plus, repositionner, et se dire qu’il manque un truc, et repositionner et non c’est pas bon… Pour finir par avoir le motif que l’on cherche, mais il manque du noir. Et donc on dépositionne pour mettre le noir. Et ensuite ? Je vous laisse deviner… Et oui : on s’apperçoit qu’en glissant le noir on a dépositionner…

Ne restait donc que la réduction, mais le temps nous manquait pour ça… Du coup, tirage au sort, Florence se désigne volontaire pour la réduire. Et je dirais que pour une cane de cette taille là, elle s’en est bien sorti!

Pour en savoir plus, rendez vous sur mon précédent résumé qui parle de l’ambiance, ou sur le site de Florence pour des commentaires plus techniques sur la démarche, etc. Et sans doute ailleurs…

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2 commentaires

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